top of page

Brève de Mue #3

J’ai l’envie de vous partager des histoires qui nourrissent, l’envie de transmettre des connaissances et un certain vécu.

Par ces petites brèves intimes je choisi aussi d’ouvrir à certains points de vue, accompagner le grand champ de conscience qui s’augmente de façon formidable au fil de ce monde contemporain.

Je me servirai pour ce faire, de façon totalement anonyme par des histoires fictionnelles ou romancées, des merveilleuses transformations vécues au Cabinet de la Mue.




Bienvenue

 

Ma troisième brève est d'une vibration aérienne puisqu'elle présente une langue que j'affectionne énormément, celle volatile qu'utilisent nos amis les oiseaux...


Bref,


Je l'appellerai "Six lettres pour un décodage".


Voici l’histoire d’une jeune femme qui se pose des questions existentielles.  Je n’irai donc vers aucune résolution ici, le propos étant celui d’introduire une approche spécifique. Ce qui m’anime aujourd’hui c’est de montrer à quel point les mots, nos prénoms et patronymes sont évocateurs et porteurs de sens.  Linguistique, sémantique s’occupent certes de ces matières avec les origines historiques, familiales, ontologiques.  Mais j’aimerais aller ailleurs.  Si tout est lié et que nous sommes corrélés à une sorte de super système « éminemment plus grand que nous » régissant le vivant, il est également possible qu’on y décèle d’autres mouvements fondateurs que ceux des matières précitées – décodables et déchiffrables eux aussi et par des biais plus abstraits voir créatifs. 


Sur cette base, les modèles, vibrations, systèmes cachés dans l’assemblage des lettres constituant les identités que nous sommes… cacheraient-elles certains mystères ? 

Afin d’éviter tout amalgame on considèrera que tout « décodable » renferme une liberté singulière capable de se mouvoir vers l’une ou l’autre direction issue de sa globalité contenue.   Prenons l’exemple d’un gâteau dont les constituants demandent certaines conditions pour faire exister une forme définie dans une multitude de manifestations potentielles. 


Afin aussi de concision et surtout de confidentialité, je ne décoderai que le prénom et non le patronyme – lequel apporte évidemment la même myriade d’informations – sans parler des prénoms additionnels, leurs liens avec le génogramme etc… (auquel on s’intéresse précisément dans le travail de la psychogénéalogie).  

Mon sujet est de vous présenter une approche qui se met en forme par voie analytique intuitive. (dont je ne dévoile pas les clefs en cette brève mais bien au sein d’initiations ponctuelles). 


Une Céline me consulte donc afin de mieux se connaître. 

Partant donc de son seul prénom j’explique à Céline que celui-ci parle, pour commencer, de cellule et que ce qu’elle serait venue montrer et mettre en image au sein de cette incarnation le serait, à la façon d’une personne comme installée, à l’intérieur de cette cellule.  Nous pouvons pressentir, outre une protection générale induite globalement, un besoin de foyer, la gestion de la solitude, mais aussi un certain enfermement possible pouvant aller jusqu’à la coupure avec le monde extérieur.  On pourra s’attendre à d’éventuelles problématiques de peau ou de respiration ainsi qu’en langage transposé à d’éventuelles difficultés dans les échanges avec le monde extérieur.  Craint-elle qu’un ciel ne tombe sur elle, ou peut-être, s’écroule en elle – entrainant une perte ou blessure d’intimité ? Le ciel de Céline devrait en tout cas avoir un rôle symbolique intime l’invitant à oser le féminin « malgré tout », dépassant les implications de ce choix… Ce choix devenant vertueux et profitable aux bons soins de renaissances personnelles.  Continuant sur cette lancée je lui fais remarquer qu’en réalité elle sait exactement comment faire, intérieurement, pour « parcourir le chemin ».  Il y a en elle un savoir inné absolument présent. 


Céline est en proie à des questionnements intrinsèques mais donc aussi relatifs à sa féminité.  Au-delà d’une induction innée à croire toujours tout savoir : elle « sait » effectivement « les choses » mais finit également et habituellement par se nier, ce qui en partie à comme pouvoir d’annuler le bénéfice d’extension.  Céline se nie aussi parce qu’une ile est en son cœur et que celle-ci parle d’un garçon. Or elle est fille. Quelque chose dit que ce garçon est né, et qu’il est quelque part à l’intérieur…s’en suivant pour elle, non intentionnellement, une sorte de haine amicale (amour-habitude pour le rejet du proche ou appréciation pour les personnes qui nous rejettent) lui faisant dire qu’il vaudra peut-être mieux « l’ » enfermer dans une cellule et en jeter la clef.   Mais la clef de qui et de quoi ? Et qui a cette clef ?  Celle que Céline montre ? Celle qui au cœur est solitude ?  Celle envahie par ce masculin qu’elle n'est pas… ? Espérons en tout cas qu’elle ne Lésine pas trop, comme elle pourrait avoir l’habitude d’être en relation avec l’argent et que le mouvement relationnel s’invite dans sa vie.  Lésiner ou faire liesse… trouver la clef, connue pourtant, entre les deux.  Digérer ces questions et surtout les évacuer sera primordial afin de pouvoir s’assoir sur des bases solides qui permettront de sceller une nouvelle identité pour le futur.  Car la marque est profonde…


Le clan a probablement voulu qu’on montre que quelque chose était occupé à y naitre, comme le cinéma met en lumière. Manque toutefois dans ce système et pour une complétude une mère.  Maman où es-tu ?  D’ailleurs « Mon âme es-tu là » ? ….Pour que je puisse montrer au monde que j’ai la clef de cette cellule où tu m’as jetée.  Était-ce malgré toi ? Car alors moi, suis-je digne d’être prise en compte et de m’aimer, voir plus tard m’émanciper ? D’ailleurs comment vais-je créer ma propre peau ?! Car je suis créatrice.  Et même que je m’exprime fort...et me prends parfois dans mes songes  pour une reine…ombragée.  Ma propre incarnation y trouve naissance, dans ma cellule personnelle ombragée : mais c’est là que je m’incarne et entre en matière.  Mais j’y crois et l’alliance m’aidera.

Il est dès lors possible que Céline soit sujette à des histoires de peaux, des histoires de chance et mal chance ou des histoires de boisson. 

Une gestation sera à nettoyer.  (pour elle et/ou pour sa mère


Alors la cellule familiale peut être remise en question. On se dira : « que fais-je dans cette famille » ? Y suis-je à ma place ?  Symboliquement comment je m’arrange avec les places de garçon et de fille ? Une peur, venue de l’au-delà, venue du ciel peut-être, du garçon né à mes côtés, de cet autre qui me fait sentir seule…ces choses qui crient l’existence d’un sceau des origines ayant pour résultante que la personne peut avoir l’habitude de mette en situation de s’effrayer elle-même à dessin de revécu.  On peut également penser à un mort qui se rappellerait à une part de lui-même par elle-même.


Puis, que s’est-il passé dans le lit ? Cette histoire de lit est au cœur de mon existence, à tel point que me voilà enfermée dans cette prison immatérielle qui a laissé trace et solitude en moi…. Il conviendra de vérifier si atteintes à la pudeur ou à l‘intimité il y a eu chez la jeune fille.  Allant jusqu’à s’interroger à propos de l’alliance que font les alliés du système et interroger l’esprit qui assemble à l’intérieur de l’enseignement prodigué par le clan.  La question est de taille car ici la lie d’un trop bon ou trop mauvais vin aurait pu faire s’accoupler le frère avec la sœur, les enfermant à perpétuité en un lieu où la clef se doit d’être jetée.  

L’inné sait tout cela ! Mais de raviver celui-ci, cet inné justement, n’est-ce pas dangereux au point qu’on me jette en prison ?

Sera présente pour les Céline la question de l’allié mais également du mort. On questionnera le nid, donc l’endroit où on a grandi.  La question de la négation sera primordiale.  La question de la mort est clairement présente.

 

Nous poserons à titre d’exemple les questions suivantes :

« Dois-je rester dans cette famille ? ».

« Comment faire le lien entre l’inné qui nait de moi et le monde extérieur ? »

« Puis-je faire confiance à mon inné ? »

« Qu’est-ce qu’un allié ».

« Ai-je une relation satisfaisante avec ma fratrie ? ».

« Les questions d’adultère raisonnent-elles dans mon système, comment m’en suis-je protégée ? ».

« Chez nous il est question de prisons avec des gens qui ont les clefs ».

« Puis je ne pas boire et en même temps être au sommet de qui je suis ? ».

Voici quelques questions que je poserais à cette Céline et vous me demanderez d’où ça vient ?

Je vous répondrai des 6 lettres de son prénom, parce que les allusions peuvent ouvrir à l’infini lorsqu’on laisse s’inviter ce que l’on appelle « la langue des oiseaux » et la canalisation qui avec l’exercice s’invite.  Laisser l’esprit s’exprimer en canalisation est un atout essentiel lorsqu’on souhaite accompagner l’humain appuyé par la voie intuitive.

N’oublions jamais qu’un entretien se déroule avec une personne à un moment précis dans un contexte précis et que seules les interactions du jour seront vectrices de transformation.


N'est-ce pas passionnant ?

Je vous donne rendez-vous au Cabinet de la Mue pour découvrir ensemble vos histoires cachées ainsi que les lieux de leurs transformations vertueuses.

 

Rodolphe

Ohain le 14/2/24

 

Brèves de Mue

De ces partages de connaissances relatant les mouvements d’âme accueillis au Cabinet de la Mue.



 

F a c i l i t a t e u r  d e  R e s s o u r c e m e n t   I n t é r i e u r

Accompagnement individuel au Cabinet de la Mue à Ohain

Interventions en vos Lieux de vie

Formations ponctuelles

 





bottom of page